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Hommage à Robert Burrowes

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Le 2 juin dernier, la grande famille de l’industrie du camionnage au Québec a perdu un homme qui, aux yeux de tous ceux et celles qui l’ont côtoyé, était l’image même de la bonne humeur et de la générosité. Robert Burrowes, vice-président de Burrowes Courtiers d’assurances, est décédé à 67 ans à la suite d’une foudroyante crise cardiaque, à sa résidence de la Rive-sud de Montréal. Celui qui était reconnu pour son inégalable sens de la relation publique laisse dans le deuil sa famille et toute l’équipe de Burrowes, mais aussi une quantité incroyable d’amis.

Robert Burrowes est entré dans l’entreprise familiale fondée par son père, William Burrowes, dès qu’il a terminé ses études, tout comme son frère John.  Au travail comme dans la vie,  il s’est démarqué par ses formidables qualités de relationniste.

« Il connaissait tout le monde et tout le monde l’aimait», souligne Évelyne Burrowes, nièce de Robert. « Il était vraiment très authentique et unique. Il avait une facilité incroyable à se faire des amis. Il avait son style à lui. Il était drôle, attachant et surtout très attentionné. Il avait le cœur sur la main. »

Cette authenticité et cette facilité d’approche étaient d’ailleurs sa marque de commerce. Pour ceux qui ont eu le plaisir et le bonheur de le côtoyer dans les évènements de l’industrie du camionnage, Robert représentait tout ce qui est joie de vivre et bonne humeur. Les témoignages de ceux qui l’ont connu son éloquents.

« Robert, c’est un ami de l’ACQ, et c’est un ami personnel pour moi », nous confie Marc Cadieux, président-directeur général de l’Association du Camionnage du Québec. « C’est une grande perte. Est-ce qu’il y a quelqu’un qui peut dire qu’il n’aimait pas Robert ? Je n’en ai pas trouvé. C’est un homme qui représentait tout le côté joie de vivre, bonne humeur. C’était quelqu’un de généreux de sa personne, à l’image de sa famille. Robert était un des grands porte-étendards de cet aspect de la famille Burrowes. C’était un rassembleur, quelqu’un d’extrêmement chaleureux. »

 « Il prenait la vie du bon côté, et il a eu une vie très bien remplie. Je pense qu’il n’y a rien qu’il n’a pas touché.  Il a vécu à 100 milles à l’heure », ajoute Évelyne Burrowes.

Elle souligne aussi que son frère Martin et elle ont beaucoup appris sur les relations interpersonnelles au contact de Robert.

« Il était de l’ancienne école. Il appelait tout le monde par téléphone. Il m’a beaucoup appris sur les relations interpersonnelles et comment garder ses contacts. Pour lui, ce n’était pas un effort, c’était vraiment naturel et sincère. Il avait un nombre incroyable de connaissances dans tous les milieux, et il tissait des liens avec tout le monde. C’était vraiment sa force. »

Robert Burrowes, un gars sympathique et dynamique, manquera à sa famille tout comme à nous tous de l’industrie du transport.

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